Maya referma la porte derrière elle et s’y adossa, l’esprit en ébullition. Elle ne pouvait pas laisser le chien dehors avec la tempête, mais la menace d’une morsure ou pire se profilait dans ses pensées.
Si elle se blessait, qui serait là pour l’aider ? Elle était seule, sans personne pour s’occuper d’elle si les choses tournaient mal. La perspective d’une mauvaise chute ou d’une morsure grave était plus que douloureuse, elle pouvait être catastrophique.