Les derniers mots de son mari ont été « Je suis désolé. Vous verrez » Elle ne s’attendait pas à ce qui allait suivre..

« Votre mari a été l’un de nos clients pendant de nombreuses années », dit M. Carver avec douceur. Il ouvre un dossier en cuir dont les pages sont remplies de jargon juridique. « Certains dossiers ont été préparés dans la plus stricte confidentialité. On nous a demandé d’attendre son décès avant de vous contacter » Les paumes de Maggie s’humidifient.

M. Carver était un homme de peu de mots, offrant à la place d’autres papiers à signer. Maggie sentit les murs se refermer. Elle insista pour obtenir des réponses, mais M. Carver se contenta de sourire avec sympathie. « Tout se passera bien », dit-il. Elle quitte le bureau plus troublée qu’à son arrivée, le dossier sous le bras.