Les chances sont minces, mais j’essaierai de faire sortir quelqu’un. » L’espoir de Raymond vacille. « C’est tout ce que je demande. » « En attendant, ajouta-t-elle, si vous pouvez lui donner un abri ou de la chaleur, faites ce que vous pouvez. S’il reste immobile, c’est qu’il a des problèmes. »
Raymond fronça les sourcils, jetant un coup d’œil par la fenêtre. « Il ne sera pas facile à déplacer, dit-il. « Il est grand. Et je ne suis plus aussi fort qu’avant. » Il y a eu une pause. Puis Diane a répondu : « Vous n’êtes pas obligé de le soulever, monsieur. S’il peut encore marcher, essayez de le conduire dans un endroit abrité. »