Déterminé, Allan enveloppa à nouveau le fauve, en veillant à protéger son corps fragile du froid mordant. Il le porta jusqu’à son camion, chaque pas lui paraissant lourd alors que le vent hurlait autour de lui, les flocons de neige lui piquant le visage.
Allan se dépêcha de ramasser le bébé cerf et la couverture, dont le corps fragile tremblait encore. Allan se précipita à l’extérieur, luttant contre le vent violent pour le placer dans sa voiture, l’attachant délicatement sur le siège du passager.