Enfin, le chat atteignit le seuil de la cabane. Ça a marché ! Le chat, poussé par la faim, s’était éloigné de l’endroit qu’il avait si farouchement gardé. Alan expira, un petit mais profond soulagement l’envahissant lorsqu’il vit le chat tendre la main vers l’assiette de thon posée dans la remise.
Lorsque le chat atteignit le plat de poisson à l’intérieur de l’abri, Alan s’empressa de fermer la porte derrière lui pour protéger l’animal de l’incessante chute de neige. Il s’arrêta un instant, le cœur battant, avant de s’intéresser à ce que le chat gardait si férocement.
