Une fois le coffre sécurisé, un officier s’approcha de Walter et de Marie. Il parle doucement, la gratitude et la gravité s’entremêlant dans son ton. « Vous avez bien fait de nous appeler. Ces appareils des années 30 ou 40 sont encore viables. Il est remarquable qu’ils soient restés stables aussi longtemps sans exploser. Heureusement, vous l’avez trouvé maintenant ! »
Un autre technicien ajoute que le métal s’est dangereusement corrodé. Tout changement de pression, d’humidité ou de température aurait pu déclencher une réaction en chaîne. « Honnêtement, dit-il en secouant la tête, c’est un miracle que ce chantier n’ait pas pris feu au cours des soixante-dix dernières années. Savez-vous comment ces armes sont arrivées ici ? La Seconde Guerre mondiale, je suppose. »
